Sarah Jane est une chanteuse dont les qualités sont vantées, à juste titre, depuis ses débuts. Mais c’est en 2020, en réaction à la dictature qui se met en place, qu’elle donne une dimension sociale à ses chansons et adaptations, à l’image d’un Govrache, dont nous avons présenté Restez chez vous, dans la rubrique Analyses. A l’image aussi d’une Ingrid Courrèges dont nous parsemons nos Plandemia de ses chansons, dans la rubrique Divers.
Nous avons retenu trois titres. Commençons par le sulfureux Soirées parisiennes :
Intéressante cette volée de bois vert contre la décadence des mafieux au pouvoir, que les pleutres appellent pudiquement politiciens.
Continuons avec son Passe Pas qui égratigne la supercherie vaccinale. Nous voyons que Sarah Jane connait bien son sujet et ses textes ne sont pas des explications oiseuses télégéniques, mais des cris, des dénonciations, des crachats à la gueule de ces salauds qui nous gouvernent. Les bourgeois ne discutent pas, jamais, ils imposent, alors ne soyons pas dupes ni naïfs, quittons leur plateaux télé et organisons-nous en dehors des structures étatiques ! Et dénonçons leurs méfaits autant que possible et sans prendre de gant ! Nous aimons cette énergie chez Sarah Jane, elle nous fait du bien, nous en avons besoin.
Notons le début de Passe Pas qui dénonce l’assassinat de milliers de petits vieux dans leur prisons, appelées EPHAD : « Ils ont commencé par les EPHAD/Adieux nos grands-parents qui n’étaient pas malades. »
Apprécions enfin ce dégueulis contre les merdias aux ordres du dieu argent et son monde ! De plus en plus de gens se rendent compte que la télé leur ment, que les journaflics mainstream sont pourris jusqu’à l’os !
Poursuivons avec La levrette, au titre fleuri, qui ne mâche pas ses mots non plus :
Rappelons que La levrette a eu les honneurs de la censure, ce que nous considérons comme un honneur et la marque que cette chanson dérange (un peu) l’Etat pervers et ses chiens de garde. Plus d’infos ici:
https://crowdbunker.com/v/Ii700jOAGl
Nous conseillons de visionner les vidéos de Sarah Jane qui valent leur pesant de cacahuètes. Les illustrations trashs, du style Gates piquant de force un enfant en pleurs, ne sont pas horribles… c’est la réalité qui l’est !
Continuons à résister, camarades !
Paroles
Soirées parisiennes
Occupés à mentir sur toutes les chaînes, et les médias, qui disséminent d’la haine
Pour faire flipper, les p’tits, les grands, nous prennent pour des manants
T’as mal de voir que l’amour bat son plein, toi ça t’vas pas non, tu nous veux du chagrin
Tu fais tout pour réveiller le grand volcan, tu tues nos vieux, tu nous casse les dents
Pendant qu’vous faites vos soirées Parisiennes, nous on déprime, on crève la dalle on devient blêmes
Vous nous mettez à feu et sang avec vos confinements ! Avec vos confinements, avec vos confinements
Et vous ! Vous kiffez vos nuits Parisiennes
Plein l’cul, plein l’pif, avec des p’tites Brésiliennes
T’attends qu’on t’salue bas, t’inquiètes t’auras tes chansons
T’en s’ras gavé à toutes les 4 saisons !
T’as pas l’air d’croire que c’est pour aujourd’hui
Allons savoir si c’est pas pour ce soir !!!!
« Et ouais, on sait pas…Ah si, on sait ! Ca y est, c’est fait. Il était temps de nettoyer tout ça ! Quoi ? un procès équitable ? Ha ha ha ! Elle est bonne… bon qu’est-ce qu’on en fait ? Aller, virez-moi ça ; ça dégage allez hop ! Pas n’importe où, ça se recycle pas ‘ça’ »
Profitez bien d’vos soirées souterraines, pendant que nous, on est en quarantaine
Moi qui faisait une très bonne praticienne, j’peux plus œuvrer, t’sais pas comme j’ai d’la peine !!!!
Pendant qu’vous fêtez vos soirées Parisiennes, on se déchire, vous nous foutez la haine !!!!!!!!!!!!
Vos grandes orgies avec de jeunes lycéennes, bien sûr c’est d’leur faute, ‘fallait pas qu’elles trainent !
Pendant qu’vous gerbez vos orgies élyséennes, nous on se bat pour des pâtes au gluten Pendant qu’vous faites vos p’tites affaires malsaines
Nos enfants étouffent, vous les privez d’oxygène-eeee !!!!!!
Passe Pass
Ils ont commencé par les EPHAD
Adieux nos grands-parents qui n’étaient pas malades
D’un coup nos vies sont dev’nues bien fades
Plus de sport, de plage, attestations salades
En loussdé on t’impose un nouveau traçage
Via des discours bidons et du chantage
On veut qu’on soit dociles, de bons moutons bien sages
Tout est matière à nous prendre en otage
Y’a ma y’a malaise
Pass sanitaire, PCR, prélèvements anaux
Quel film ils jouent dans leur tête de mégalo
Et les masques au graphène, muselière et partouze de mots
Qui annoncent la guerre à coup d’piquouze, vive les labos !
On se laisse traiter comme du bétail
Ca fait un bail qu’ils nous prennent pour leurs cobayes
Possédés par des Djinns qui déraillent
Qui n’savent même plus mentir, qui nous dévoilent leur failles
Journalopes et merdias qui foutent la pagaille
On n’oublie pas les noms de ces canailles
Trahison, propagande, ils envoient du sale
Auraient-ils peur de finir comme Balavoine
Pass sanitaire, PCR, prélèvements anaux
Quel film ils jouent dans leur tête de mégalo
Et les masques au graphène, muselières et partouze de mots
Qui annoncent la guerre à coup d’piquouze vive les labos
Collabos
La levrette
Alors ouais c’est la honte, ouais ouais ça détone
Maint’nant un QRcode qui peut nous dicter nos codes
J’me suis dit qu’f’allait qu’ je rappe, exposer les boulettes
Couper les filets et les chaînes dans nos têtes
Alors ouais c’est la honte, ouais ouais ça déconne
Pas b’soin d’sortir d’l’ENA, j’décortique, je décode
On m’a dit qu’fallait que j’rappe, exposer les boulettes
Sortez des filets !
Y’a comme un goût de haine sur les murs de ma ville, y’a
Comme un coup pas clair dans la démocratie, y’a
Comme des prophéties dans les discours d’Attali, y’a
Comme un goût de gerbe qui t’invite au suicide
Mais demande-toi ce qui les pousse à confisquer nos vies
Conditionnés à consommer leurs broutilles, ouais !
A l’aveuglette tu changes de cap, au lieu d’te battre
Et tu t’embarques dans des eaux crades
Et tu t’éteins à tenter d’rentrer dans les cases
Y’a comme des coups d’attentat, d’assassinat d’état, comme
Comme de l’anthrax dans les faux vax !
Y’a comme un goût d’amertume chez les gilets jaunes
Une tonne de boulettes boulettes sur les ondes
Alors ouais ça détone, ouais ouais, ça t’étonne non non
Un QRcode qui peut nous dicter nos codes non non
Génération non non Alors ouais ça détonne ouais ouais, ça t’étonne non non
Un QRCode qui voudrait triquer nos codes non non
Génération non non
Y’a comme un goût de viol dans les tests et les analyses, y’a
Pas de demi-molles dans les gazages de la police, y’a
Comme un faux son d’cloche quand on te dit qu’on est qu’cent mille, y’a
Comme des gens qu’on paye pour qu’ils trichent comme ils respirent !
Mais demande-toi ce qui les pousse à tirer sur la foule
Simulant des crises, faut pas croire qu’ils ont la trouille, non !
C’est une levrette, une arbalète, et toi tu cèdes pour une raclette
Tu t’dis qu’c’est pire si tu peux plus t’faire zizir ! Non!
Y’a comme un r’tour d’Al Caponne, comme des phrases qui dissonent
Tueurs d’enfance dans les écoles !
Y’a comme des coups d’propagande sur les sur les mômes
Une meute de démons qui trônerait sur le monde !
Alors ouais ça détone, ouais ouais, ça t’étonne non non
Un QRcode qui peut nous dicter nos codes non non
Génération non non Alors ouais ça détonne ouais ouais, ça t’étonne non non
Un QRCode qui voudrait triquer nos codes non non
Génération non non
Y’a comme des connivences dans l’église et dans la France, y’a
Comme l’odeur du fric dans les loges et les alliances, y’a
Comme un goût de gesta-gestapo dans la bouche de Maquereau
Comme un flot de mytho, gouvernement Narvalo !
Y’a comme un son de Boom Boom ! Dans les voix des censeurs
Y’a comme un coup de Coupe-Coupe ! A l’hosto pour que tu meurs
Y’a comme du lourd pour te soûler sur tout c’qui s’déroule
Comme un goût de levrette qui t’empale et s’abat sur la foule !
Alors ouais ça détone, ouais ouais, ça t’étonne non non
Un QRcode qui peut nous dicter nos codes non non
Génération non non
Alors ouais ça détonne ouais ouais, ça t’étonne non non
Un QRCode qui voudrait triquer nos codes non non
Génération non non
Discours de Jacques Attali :
« Nous espérons une sorte de raz de marée, pour que le système saute à l’intérieur des institutions. Nous espérons ce raz de marée. Pourquoi on l’espère ? Parce que aujourd’hui, on voit bien, les Français demandent un programme ambitieux, et ils veulent pas des candidats en place.
Et en général, les Français font ce qu’ils disent. Ils veulent pas des candidats, ils veulent un programme, donc y’aura un programme et un candidat qui aura un programme.
Et si ça a pas lieu, et si les Français sont obligés d’élire quelqu’un qui n’a pas de programme et dont ils n’veulent pas, ils seront déçus le lendemain et je vous le dis, il y aura une révolution dans ce pays avant 2022. Il y aura une révolution dans ce pays. Donc, tout ce qu’on fait ici, c’est pour créer les conditions pour que cette révolution, qui n’amènera que le pire, parce qu’elle amènera une réaction, heu, dans le sens contraire, heu, qui sera forcément très négative.
Nous voulons un programme présidentiel ambitieux pour 2017, nous voulons un candidat capable de le porter. »