Restez chez vous


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Le très bon slam de Govrache, Restez chez vous, écrit en plein covidélire, au printemps 2020, est une rare trace musicale de prise de distance avec l’OMS, l’Occultissime Mensonge Sanitaire.

Profitons de cette chanson pour faire le point, une pause pour réfléchir.

Ceux qui dénoncent cette gigantesque supercherie pandémique donnent des arguments auxquels les merdias et leurs lèche-culs de politiciens (au service de la pharmafia) se gardent bien de répondre. Faisons le tour de quelques questions qu’elles sont bonnes :

– Chaque année, en Chine, il y a, de source officielle, des centaines de milliers de  morts à cause des particules fines, spécialement dans la région de Wuhan. Pourquoi l’OMS ne fait-elle pas un foin de ces multiples morts, et se base-t-elle juste sur 3000 petits morts sur un milliard quatre cent millions d’habitants ?!

– Chaque année, en France, presque 150.000 personnes meurent d’un quelconque cancer. Pourquoi l’OMS ne…

– Les virus existent depuis 4,5 milliards d’année et vivront après nous. Ce sont nos amis, comme les bactéries, et servent à équilibrer nos organismes, en lien avec le milieu. S’il y a déséquilibre, le « mal à dit » nous donne des indications à suivre. Par exemple accueillir la fièvre, qui aide le corps à combattre les agressions, comme un bienfait. Mais cette façon de réfléchir passe sur le corps de la médecine pasteurienne et sa logique stupide et cupide. Lire absolument Pour en finir avec Pasteur, qu’Eric Ancelet a écrit en 1999, avec comme sous-titre Un siècle de mystification scientifique.

Pourquoi l’OMS impose-t-elle la médecine pasteurienne et sa peur de la fièvre ?

– Pourquoi certains scientiflics, qui ne soignent pas, mais additionnent des données, des stats, des chiffres… en attendant de toucher le scientifric… sont-ils sans cesse appelés à la télé, sans jamais de contradicteurs dignes de ce nom ?

– Les personnes mourant AVEC le covid sont déclarées mortes DU covid. Pourquoi ? De combien doit-on diviser le chiffre des morts du covid officiellement clamé ?

– L’Etat américain donne 13.000 dollars par patient aux hôpitaux s’ils les déclarent morts du covid… et rien aux autres ! Pourquoi ?

– La première cause de mortalité au monde, les infections respiratoires, sont dues à l’empoisonnement quasi généralisé, la pollution, la peur de vivre qui nous étouffe, etc. La façon qu’a la médecine de traiter ces problèmes passe par les anti-inflammatoires, l’intubation, la terreur inhospitalière, etc., ce qui terrifie et tue les malades.

– Les vaccins font baisser les défenses immunitaires, mais… rapportent très très gros à Big Pharma. L’OMS n’a-t-elle pas en vue un super-vaccin, bien dégueu, qui comprendra une nano saloperie qui nous rendra traçables à vie (à mort ?) ?

– Lesquelles informations seront lisibles grâce à la 5G, imposée militairement par les divers Etat, au service de l’OMS, au service du capital mondial.

Faisons une petite pause avec La Marmite qui nous parle de CoronaHiatus-1984 :

– Pourquoi le traitement d’un certain médecin, qui a obtenu le meilleur score mondial de guérison, n’a-t-il pas été généralisé et ce médecin traîné dans la boue par des journaflics et des parlementeurs ?

– Pourquoi les merdias préfèrent-elles donner la parole aux footballeurs professionnels ?

– Pourquoi les escrocs en blouse blan… pardon en complet veston, n’indiquent-ils plus, avant une interview, leurs conflits d’intérêts avec la pharmafia ?

– Pourquoi n’écoute-t-on pas ce spécialiste canadien des virus, mondialement reconnu, qui explique simplement que les masques ne servent strictement à rien contre un virus, à la nano dimension ?

– Pourquoi n’écoute-t-on pas ceux qui disent que les tests sont faussés, les chiffres multipliés de façon grossière pour trouver la moindre trace… de réactions immunitaires contre le covid, confondues (volontairement ?) avec des traces de covid ?

– Pourquoi enferme-t-on des gens en bonne santé ?

– Pourquoi n’insiste-t-on pas sur le fait que les personnes en bonne santé se défont assez facilement du covid ? Pourquoi criminalise-t-on ceux qui, naïvement parfois, font état de leur guérison ?

– Pourquoi ne parle-t-on pas du nombre de morts plus grand en 2017 qu’en 2020 ?

Une pause avec La chorale des canulars de Lyon, qui chante La Complainte du coronavirus :

– Pourquoi ne pas se concentrer sur les véritables personnes à risque qui, comme chaque année (mais pas plus), meurent du cancer, d’infections respiratoires, de diabètes, d’obésité, de grippe saisonnière (malgré leur vaccin !), etc. ?

– Pourquoi l’OMS interdit-elle de faire des autopsies ?

– Pourquoi ne dit-on pas que l’immense majorité des décès sont des personnes âgées avec une, deux ou trois maladies mortelles ?

– Pourquoi est-ce que, comme chaque année, la police gaze-t-elle systématiquement le personnel hospitalier qui manifeste contre le manque de moyens ?

– D’où vient ce virus ? A-t-il été créé par des apprentis sorciers, dans un labo militaire P4, comme il semble probable ?

McNamara, alors président de la Banque mondiale, après avoir été chef de l’armée américaine au Vietnam, disait en 1987 :

« Il faut prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations. Réduire les taux de natalité s’est avéré impossible ou insuffisant. Il faut donc augmenter le taux de mort. Comment ? Par des moyens naturels : la famine et la maladie. » Paru dans J’ai tout compris, n°2, février 1987, édition Machiavel.

Comment comprendre cette phrase ? Comment la mettre en relation avec les déclarations de Gates-le-philanthrope !

– Pourquoi Gates n’a-t-il pas fait vacciner ses enfants, comme de nombreux riches et beaucoup de médecins ?

– Pourquoi la PEUR est-elle entretenue, organisée, structurée, alimentée, spectacularisée par des « experts » en prédictions anxiogènes, sachant que la peur fait baisser l’immunité ?

– Pourquoi la terreur sanitaire se concentre-t-elle sur les quartiers « difficiles » ?

– Pourquoi des milliers de travailleurs dans les métros si ce n’est qu’ils ne risquent pas grand-chose, étant donné la grande contagiosité du virus et sa faible létalité ?

– Pourquoi les esclaves qui lèchent leur chaîne se promènent-ils en forêt avec un masque, alors qu’il est prouvé que son port prolongé est dangereux et peut provoquer l’hypoxie ?!

– Cherche-t-on à cacher la terrible « crise financière » du capital mondial ? La bancarisation galopante, la destruction de l’économie dite souterraine, etc. ?

– Pourquoi ne fout-on pas tout ce système en l’air et plus vite que ça? Et respirons !

Restez chez vous donne un début de réponse fort audacieux : « L’urgence Covid est bien pratique quand vous souhaiterez manifester. »
Hé oui, en 2019, il y a eu deux vagues de lutte mondiales, l’une aux alentours de juin, l’autre en automne. Ces luttes tendaient à se généraliser, à se reconnaître aussi et faire référence à leurs débordements aux quatre coins du monde !

Cela rejoint une réflexion de D1ST1, avec Coronavirus : « Je suis là pour éradiquer la révolte/Coronavirus… »

Le monde politique est de plus en plus décrédibilisé et les foules de manifestants en Roumanie et au Liban, par exemple, crachaient sur sa corruption.

Comment ne pas voir un lien avec la lutte à Hong-Kong et le covid chinois voisin ?

Pourquoi est-ce qu’à chaque fois qu’on lutte on nous traite de complotiste et/ou d’antisémite ?

Pourquoi ne parle-t-on plus des dizaines de milliers de morts par an à cause des maladies iatrogènes? Ont-ils été tous par magie covidés ?

Pour comprendre comment Big Pharma, et la terreur sanitaire organisée par l’OMS, fonctionne, il est impératif de lire le très documenté livre de Claire Séverac, Complot mondial contre la santé, paru en 2011 aux éditions Elie et Mado.

La lecture régulière de Néosanté est également fortement recommandée : www.neosante

Il n’y a pas de pandémie de coronavirus, il y a le business as usual capitaliste, la terreur quotidienne pour survivre, l’appauvrissement progressif de tout ce qui est vivant, son empoisonnement, sa destruction.

Il y a la Vie qui ne se laisse pas faire, qui réagit, qui le chante. C’est tout à l’honneur du slameur Govrache d’y participer.

Un peu d’humour, allez, ça ne va pas faire de tord. Les Goguettes (en trio mais à 4) nous proposent un medley qui vaut ce qu’il vaut :

Voici les paroles sympathiques d’un petit feuillet distribué en Belgique, à l’été 2020 :

Sur l’air des Gilets jaunes

On est là (bis)
Aux fenêtres et aux balcons nous on est là
On applaudit les soignants mais pas le gouvernement
Solidaires à 100% des gens d’en bas

On est là (bis)
Confinés et révoltés on n’oublie pas
Qu’ils ont tout privatisé tout vendu aux financiers
Ca n’se pass’ra plus comme ça car on est là

On est (bis)
Confinés et révoltés on n’oublie pas
Les hôpitaux saturés et la santé dégradée
Les moyens pour nous soigner on les a pas

On est là (bis)
Confinés et révoltés on n’oublie pas
Les milliards aux entreprises comm’toujours ils priorisent
Leur intérêt sur nos vies et sur nos droits

On est là (bis)
Confinés et révoltés on n’oublie pas
Les précaires vont travailler sans pouvoir se protéger
De cett’hypocrisie-là on n’en veut pas.

 


Paroles

Restez chez vous.

À vous mes chers compatriotes, l’État vous parle, soyez-en digne
Si ce qu’on vous dit vous semble étrange, n’écoutez pas entre les lignes
Le confinement est nécessaire, c’est une question de santé publique
Mais à la guerre comme à la guerre, il faut quand même dire que c’est pratique

Restez chez vous, restez chez vous pendant qu’on mène votre sens critique en bateau
Pour le mettre en large en quarantaine
On va soigner ceux qui confinent, et l’ordonnance passe par l’info
Pour les poumons de la Ventoline, et de la Vaseline pour le cerveau

Restez chez vous, et regardez bien l’épouvantail
Le temps qu’on fait sauter les verrous de la durée du temps de travail
On va braquer les trente-cinq, vous gueulerez peut-être mais sans sortir
On va vous convaincre au vingt heures, qu’il faut bosser plus pour s’en sortir
Le ministère du travail en France semble avoir autant de scrupules que sa ministre a de l’éloquence

C’est confirmé, le foutage de gueule a pris le pouvoir
On vous confine à l’isolement, on vous convie à l’isoloir
On fait ce qu’on veut de toute façon, tant que vous êtes tous nos prisonniers

Et un virus derrière le carreau, c’est des barreaux qu’on peut pas scier
C’est des barrières là sur vos gestes, des muselières sur vos révoltes
Et parce qu’en cultivant la peste, c’est votre soumission qu’on récolte
On va pas se priver, on va pas se priver

Le président emploi des mots sans se soucier de leur indécence
Il est en guerre et ça tombe bien, on a cloîtré la résistance
On crie mort au capitalisme, vive l’État providence pourtant
À la nouvelle morgue de Rungis c’est cinquante balles le recueillement
On dézingue des bidons-ville tant que le virus est à la une

Des zadistes sont expulsés, sans que le virus soit à la dune
Les milliardaires ne payent pas d’impôts, ils font des masques ça vous suffit
Quand vous verrez qu’ils vous chient dessus, ils fabriqueront des parapluies
On parle de traçage numérique, le peuple docile est testé
L’urgence Covid est bien pratique quand vous souhaiterez manifester
On a pas de budget pour vos masques, mais il y en a pour nos lacrymos
On vient d’en commander le 3 mars, pour presque quatre millions d’euros

Et c’est comme ça, qu’ils continuent de nous entuber
Moi je ne souhaite de mal à personnes, mais qu’ils aillent tous se faire intuber
Juste pour voir, ce que c’est que d’avoir le souffle court
Comme quand on court dans un mouroir parce que les promesses sont à la bourre
Car pendant ce temps des infirmières travaillent dans la sueur et dans le sang
Même si je vois moins de sang sur leur blouse que sur les mains de nos présidents
Dix-sept mille lits en moins de six ans, les politiques peuvent se vanter
C’est mieux que si David Copperfield était ministre de la santé
Dix-sept mille lits, il y en aura d’autres c’est prévu
Ils comptaient peut-être nous endormir mais on va pas s’asseoir dessus
Dix-sept mille lits, et un virus qui jubile
Je crois que si je venais de perdre un proche, je me porterai partie civile.


La Marmite – CoronaHiatus -1984 (juin 2020)

  1. Le Ministre : Notre monde n’a sans doute jamais connu de plus grande menace que celle-ci. Nous tous, qui sommes à votre service, nous continuerons à défendre votre liberté et à repousser les forces qui cherchent à vous en priver. Votre ministère doit rester… fort !
  2. Unissons-nous face au malheur Devant nos écrans à 20 heures On nous annonce la guerre mondiale Contre un virus, c’n’est pas banal
  3. Mobilisation générale Amour, entraide et paix sociale Sauvons des vies, l’économie Faut y croire quel qu’en soit le prix
  4. Sans masque tu bosseras La mascarade applaudiras Mais sache que le télétravail Pas d’chance, c’est pas pour les mandayes
  5. La parole claire des gouvernants Sachant chasser les faux sachant L’addition nous présentera Glissée dans les « lois Corona »
  6. Soins de santé exsangues Une faille dans la harangue La pandémie marchande Se rit de nos offrandes

Coronattitude Coronhabitude Corona civisme Corona cynisme Corona hiatus Corona rictus Corona typhus Victoire à la Pyrrhus

  1. Etat d’urgence sanitaire Etat d’urgence sécuritaire Et toujours nos voix à faire taire Pour nous faire rentrer nos colères
  2. Distanciation sociale Ou enfer carcéral Corps à disposition Neurones en perdition
  3. Si l’capital c’est la Santé L’abolir c’est nous préserver ! Ils veulent qu’on finisse confinés Assignés à nos résiliences Invitons-nous à leur dîner Abolissons toute gouvernance
  4. Derrière la panique médicale Resurgit la question sociale En blouses blanches comme en gilets jaunes Comme un ras-le-bol de faire l’aumône

Refrain 2 Coronattitude (…) Break Bienvenue dans la dystrophie agro-militaire et pharma-sceptique du bonheur techno-industriel

Continuons à tourner en rond sur les circuits de marchandises, où les pandémies à venir font leur galop d’essai

Après 500 années de guerre et de pestilence, le capital est plus que jamais disposé à poursuivre son ascension sur des montagnes de cadavres

  1. L’Etat compte son or Et nous comptons nos morts Business as usual C’est la guerre sociale C’est leur monde, leur virus C’est nos maux, leur rictus Business as usual C’est la guerre sociale.

 


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